Allégresse
J’ai planté mon poème
un olivier a poussé
je l’offrirai aux fedayins
embusqués et silencieux
comme à l’approche du simoun *
Mais vous ignorez le simoun
et la rafale du simoun
(*) Simoun : vent de sable brûlant
Djamal Benmerad
Journaliste, écrivain
Bruxelles
Journaliste, écrivain
Bruxelles